Mon panier

Marie-Chantal Tanguay

Marie-Chantale Tanguay - Co-auteure

Une succession de synchronicités toutes plus incroyables les unes que les autres a réuni Madame Borgia et Marie-Chantal Tanguay. C’est à une Nord-Côtière que l’ex-policière a confié la mission de donner le ton à son ouvrage.

Enseignante-orthopédagogue, diplômée de l’Université de Sherbrooke il y a 25 ans. Elle a récemment décidé d’effectuer un retour à ses premiers amours, l’écriture. Celle qui a d’abord fait des études collégiales en Arts et lettres évolue aujourd’hui dans le monde de la rédaction web en tant que ghostwritter, copywriter et maintenant, co-autrice d’une biographie. Par choix, elle se consacre principalement aux mandats à mission sociale. La rencontre avec Madame Borgia aura marqué autant sa carrière que l’ensemble de sa personne.

Oeuvres

SUR LA BANQUETTE ARRIÈRE - Les mémoires de Capitaine Borgia - COUVERTURE - Maison d'éditions Sophonie Expressions - Autrices : Estelle Trudel Borgia / Marie-Chantal Tanguay

Sur la banquette arrière

1$ de chaque livre sera versé à l'Association Canadienne Femmes et Carrières Québec par les autrices. Ce livre, c’est l’émancipation d'Estelle Trudel Borgia, une femme déterminée et courageuse au parcours exceptionnel. Embauchée en 1976 comme femme policier à la sûreté municipale, elle fait face à l’opposition féroce de ses confrères, faisant couler beaucoup d’encre, d’où la naissance de la saga médiatique nationale Trudel. À l’adolescence, elle est tombée sur une lecture qui lui a donné envie de devenir cheffe du domaine professionnel qu’elle empruntait. Une fois en poste, elle rêve de devenir la première femme directrice de police au Québec. Hélas ou heureusement, elle connaît une descente  aux enfers, suivant le sexisme, l’intimidation et le harcèlement qu’elle a subi. Malgré tout, elle a su gravir les échelons jusqu’à être promue au grade de sergente, une première au Québec. Puis, au grade de capitaine, la toute première femme au Canada. Quatre ans après sa démission, elle est l’invitée de Jean-Luc Mongrain à l’émission L’heure Juste. La même année, alors qu’elle ne s’est jamais considérée comme féministe, son nom figure sur la liste des femmes que Marc Lépine souhaitait assassiner lors de l’attentat de la Polytechnique le 6 décembre 1989. Un témoignage troublant sur les difficultés et la souffrance vécues en tant que femme dans un milieu traditionnellement réservé aux hommes au tournant des années 70, avec tout ce que cette époque apporte de révolution sociale.